Here's a cool song, pretty simple but sounds so great. If you understand french, listen
the lyrics, it's just amazing.
(Capo 1)
Intro:
Am Am C G|-0---------------------------0-------------------------0-----------------------------------------||---3-1-------0-1-----1---------3-1------0-1-----1--------3-1-----0-1-------3--1--0-------3--1—-0-||--------2-2-------------2-----------2-2-----------0----------0-0---------0------------0----------||-2---------------------------2-------------------------------------------------------------------||-------------------------------------------------------3-----------------------------------------||-------------------------------------------------------------------------------------------------|
Strumming:
UUDU UD D DUDU (D=Down/U=Up)
Am                         Am                C                       G
Ami prends ma lanterne car jÂ’ai perdu ma flamme,
Mon amour est parti,
Elle a jeté mon âme à bouffer au néant me laissant le cœur vide,
Elle a fait des fertiles des averses,
LÂ’aride.
Et lÂ’horreur du monde nÂ’est rien en comparaison
A ce que lÂ’amour fait Ă ceux qui dans lÂ’union
Pensent oublier un peu quÂ’on est triste ici-bas,
Et quÂ’ici solitude
Est le dernier repas.
Elle avait les yeux noirs desquels on voit du bleu,
Qu’on prend pour l’océan, dans lequel on voit dieu,
Qui font toucher du bout des doigts les horizons,
Mais toujours Ă la fin,
On est seul au milieu des vagues de sanglots et du sel dans la gorge
Et du sel sur la plaie de ce cœur tatoué
A son nom que lÂ’on crie au fond des verres de vin
A se dire que la vie,
Oui nÂ’Ă©tait quÂ’une putain.
Ami regarde-moi, jÂ’ai le cÂśur qui renverse,
La mémoire de ses yeux qui me colle à la peau
Et dans les bars du port je cherche magie noire
Pour délivrer mon corps du sort qu’on m’a jeté,
Et le sourire des filles non ne me fait plus rien
Et je commence Ă croire que les hommes qui ont pris dÂ’autres hommes pour amour
Ont réglé la question, après tout dis-moi qu’est ce qu’elles ont de plus que nous ?
Si ce nÂ’est cette force qui fait quÂ’elles vous oublient,
Cette horreur au fond dÂ’elles, ouais ce monstre qui crie quand elles vous font lÂ’amour,
Tu sais quÂ’elles nÂ’oublient pas quÂ’il nÂ’y a quÂ’Ă la nature quÂ’elles ne tiennent parole.
A tous ceux dans leurs bras qui sont fait prisonniers,
J’ai l’âme solidaire et puis ma sympathie à ces fous qui comme moi
Finiront pas la nuit,
Je vous le dis putains,
Putain vous mÂ’aurez plus !
Que je meurs Ă lÂ’instant si lÂ’envie me reprend
De remettre ma tĂŞte dans la gueule du serpent,
De me laisser encore crucifier le cÂśur
Pour un joli sourire au parfum de leur fleur.
Marguerite ou Tulipe et de Rose Ă Lilas
Tu sais lÂ’ami pour moi elles ont toutes ici-bas
Quand elles vous montrent ciel, quÂ’elles vous disent quÂ’elles vous aiment,
Elles ont toutes pour moi
L’odeur des chrysanthèmes.
Adieu les gentilles,
Adieu les jÂ’en pleure,
Adieu les maudites qui ont pris ma lueur,
Qui ont jeté dans le noir mes yeux et puis les tiens contre le chant du cygne !
Et les beautés ?
Qu’elles crèvent
Toutes ! JÂ’en peux plus de ces jeux qui nous tuent,
JÂ’en ai marre de ce cÂśur mon dieu qui ne bat plus,
Et qui toujours sÂ’incline aux pieds de fausses blondes
Qui nous mènent à la cime,
Qui nous traînent à la tombe.
Partition par KeĂŻko